Le nez collé au hublot, je regarde l’île rétrécir à l’horizon. La semaine
est passée très vite sur ce petit coin de paradis. L’île de Pâques doit son nom
au navigateur néerlandais Jakob
Roggeveen qui y débarqua pour la 1e fois le jour de
Pâques en 1722. Perdue au milieu de l’océan pacifique, elle évoque le mystère avec ses
imposants monolithes appelés moaïs. Il y a en a des centaines éparpillés
mais seulement quelques-uns ont été redressés et restaurés. Ces statues ont
toutes le dos à la mer, tournées vers les villages, comme pour mieux surveiller
les populations… Une exception pourtant : les 7 moaïs regardant la mer. On suppose qu’ils représentent les
navigateurs à la recherche d’autres terres d’accueil.
La connaissance de l’histoire du peuple Rapa Nui et de la signification de ces moaïs est une série de suppositions sans réelle réponse. Elle était autrefois transmise de génération en génération par la tradition orale. Et malheureusement, une grande partie de la population a été réduite en esclavage par le Pérou. Et les quelques Rapa Nuis qui en sont revenus, ont rapporté avec eux des maladies qui ont fini d’anéantir sa population. En 1877, il ne restait plus que 100 Rapa Nuis sur l’ile. Aujourd’hui, les pascuans vivent essentiellement du tourisme. Ils ont réussi à garder leur langue et sont fiers de leur culture. Ils ont des musiques et des danses similaires à ce que l’on peut entendre et voir en Polynésie. C’est un peuple très chaleureux. On se fait facilement prendre en stop ou inviter à dîner.
La connaissance de l’histoire du peuple Rapa Nui et de la signification de ces moaïs est une série de suppositions sans réelle réponse. Elle était autrefois transmise de génération en génération par la tradition orale. Et malheureusement, une grande partie de la population a été réduite en esclavage par le Pérou. Et les quelques Rapa Nuis qui en sont revenus, ont rapporté avec eux des maladies qui ont fini d’anéantir sa population. En 1877, il ne restait plus que 100 Rapa Nuis sur l’ile. Aujourd’hui, les pascuans vivent essentiellement du tourisme. Ils ont réussi à garder leur langue et sont fiers de leur culture. Ils ont des musiques et des danses similaires à ce que l’on peut entendre et voir en Polynésie. C’est un peuple très chaleureux. On se fait facilement prendre en stop ou inviter à dîner.
L’île de Pâques, c’est aussi une merveille de la nature. Elle
a 3 volcans, tous éteints depuis longtemps, avec un point culminant à 500 mètres.
De là, on a une vue de toute l’île, à 360 degrés. Il est bien agréable de se
balader dans ses forêts et ses plaines, où on ne croise que des chevaux
laissés en liberté. Le long de la côte, du haut d’une falaise, ou au fond
d’une grotte, je me croirais en Bretagne ! Et les vagues… Quelle force de
la nature ! On a passé des heures à regarder ces masses d’eau s’enroulant élégamment
et finissant leur course sur les contours écorchés des rochers en une gerbe de
mille gouttelettes étincelant au soleil.
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